Préface : ce point de vue n'engage que moi. Et non, je ne trolle pas tout le temps. En tout cas pas toujours.
HOTD commence comme n'importe quel survival, Resident Evil et autre Silent Hill. Un zombie débarque, il mord un humain, et au final, ça fait deux zombies qui débarquent. Alors ces deux zombies mordent chacun un autre humain. Et là, suspense, on ne s'y attend pas, ça fait bien quatre zombies qui débarquent. Mais ce n'est pas tout ! En effet, quand ces quatre zombies mordent quatre humains, ... Et voila comment commence notre histoire. Avec pleins de zombies qui mordent pleins d'humains et qui débarquent.
D'ailleurs, sans savoir où quand comment et pourquoi. Mais ce n'est pas le sujet de la série. Le principal de l'histoire et de savoir comment notre petit groupe de lycéens courageux va pouvoir survivre dans cette ville zombifiée. Le groupe se forme pour unir les forces de chacun et pour rester en vie. Il se retrouve d'abord coincé dans le lycée, mais va vite s'échapper pour arriver en ville.
Leurs armes sont assez mineures, batte de base ball, boken, bâton... Mais ce problème va vite être réglé ! Car quelle chance pour eux ! Entrer dans une maison qui justement contient des tas de grosses armes automatiques et un gros hummer militaire dans le garage. Quelle découverte que l'on fait tous les jours ! D'ailleurs, j'ai moi-même dû jeter mon bazooka dans ma corbeille pour pouvoir mettre ma collection d'uzi dans mon placard.
Pff, heureusement en plus qu'ils savent s'en servir ! Les lycéens japonais de nos jours sont remarquables.
J'adore cette image de 4 ou 5 lycéens qui écrasent des zombies avec un hummer lancé à fond dans les rues en tirant avec des automatiques. C'est tellement,... logique ! Il y a bien des moment de psychodrame dans le groupe, je suis attiré par toi, je te regarde en souriant. On est attaqué par des zombies mais n'oublions pas que nous sommes des lycéens en pleine puberté.
Quant au côté fan service, oui, les filles dorment en petites culottes, oui il y a de la dentelle, oui elles ont de gros seins.
En conclusion : nul.